Trois hommes en voiture fauchent onze piétons à Dijon en hurlant «Allah Akbar !»

Publié le par FN19

Trois hommes en voiture fauchent onze piétons à Dijon en hurlant «Allah Akbar !»

Trois hommes dans une voiture ont renversé une dizaine de piétons en fin de journée à Dijon en criant «Allah Akbar» («Dieu est le plus grand», en arabe). Il y aurait onze blessés dont deux graves.

La panique s’est emparée des alentours de la Place Wilson, en fin d’après-midi à Dijon. Selon nos informations, trois automobilistes ont foncé sur des passants en criant «Allah Akbar». Selon une source policière, il aurait également crié «au nom des enfants de la Palestine». Quatre piétons auraient été percutés par un véhicule dans un premier accident avant que sept autres ne soient renversés quelques minutes plus tard dans trois autres collisions survenues rue des Godrans, rue Monge et rue du Transvaal, indique Le Bien Public. Il y aurait onze blessés dont deux graves.

«L’homme, né en 1974, présente le profil d’un déséquilibré et serait suivi en hôpital psychiatrique», a déclaré à l’AFP une source proche du dossier indiquant que «pour l’heure ses revendications semblent encore floues». Cette agression survient au lendemain de l’attaque du commissariat de Joué-les-Tours (Indre-et-Loire), où l’assaillant avait agressé des policiers en criant «Allahou Akbar».

La voiture folle a tenté de s’en prendre aux forces de l’ordre, un commissariat étant situé proche de la place Wilson, avant de foncer sur des piétons. Le conducteur s’est enfui après l’accident avant d’être interpellé. En revanche, les deux passagers sont toujours en fuite. Le préfet de Côte-d’Or, Eric Delzant, est sur place. Ce dernier a confirmé que les collisions étaient «volontaires.»

A savoir que suite à des informations de source préfectorales, ce mode d'action est connu par les services de renseignement depuis 5 ans au moins et risque fortement d'être reproduit à une grande échelle. La guerre civile a peut-être commencé. Il ne s'agit absolument pas d'un fait divers mais de ce que craignaient nos services de renseignement.

Publié dans Actus nationales

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